La page d’ouverture de la série a été, ça arrive, très facile à réaliser. Une fois la composition esquissée, qui sait quel travail sera nécessaire pour extirper de Photoshop une image qui en vaille la peine.
Je travaille avec Photoshop comme avec bien d’autres médiums (même la musique), de façon très intuitive. L’illustration est construite tel un collage, mais au lieu de juxtaposer des images, je les superpose avec différents degrés de transparence et en utilisant des filtres et autres méthodes propres au numérique, je modifie l’ensemble des calques en ne modifiant qu’un d’entre eux. Simple, non?
Voici une précédente version qui reste très intéressante à mon avis.
Disons que ça s’approche souvent de l’improvisation musicale où chaque choix est influencé par celui qui le précède. Il va sans dire que le résultat est rarement prévisible. Dans ce type d’illustration, du moins de la façon dont je procède, il n’est pas rare que le final soit à des lieux de l’idée originale.
Dans le cas de cette page, le croquis ne s’en éloigne quand même pas trop.
Enfin, à mon humble avis.
À bientôt,
Denis
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PS : Pour avoir un tirage d’art de cette image
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