La difficulté avec cette page était de dessiner une série de cases horizontales montrant un paquet de formes verticales, les arbres, sans que ceux-ci aient l’air de passer d’une case à l’autre. J’ai essayé de faire sortir certains arbres à différents endroits des cases et de jouer avec certains contrastes pour éviter cet effet. Pas aussi…
Voici la page où le corbeau, notre narrateur, nous lance dans l’aventure. D’une certaine manière, Maelstrom n’est qu’un conte, une histoire racontée autour du feu de camp. Seulement dans ce cas-ci, c’est un corbeau qui tient la lampe de poche sous son bec. Ha! Voici le croquis choisi pour la mise en page finale de…
OK, pour éviter le « spoiler » (ça, c’est l’expression française, au Québec, on dit « vendre le punch ») je n’ai pas montré le croquis complet de la composition dans le billet précédent. Ceci vous ferait voir le contenu de la page un peu trop en avance. À mon avis, les deux pages fonctionnent aussi bien séparées qu’ensemble, chaque moitié…
Pour celle-ci, j’ai un peu hésité. Je ne savais pas si cette page (et la suivante) était redondante et ne faisait que ralentir le rythme. Je suis toujours dans l’incertitude, alors, dites moi. Ce qui m’a fait choisir de la conserver est la composition, et même si je veux faire avancer la lecture en ajoutant progressivement plus…
Comme je le disais à propos de la page précédente, j’ai prévu l’éventualité où les pages 3 et 4 soient combinées dans une page BD de proportion « normale ». Voici donc la partie du bas, du point de vue de l’intérieur de la maison en ruine avec l’arbre qui pousse au centre.
La page 3 est construite sur un design qui s’étale sur deux parties. J’ai bon espoir qu’elles se liront convenablement en deux pages séparées. Voici le croquis préparatoire, dessiné sur une feuille de format « lettre ». Notez que j’ai changé d’idée à propos de l’endroit où le corbeau se perche.
La page d’ouverture de la série a été, ça arrive, très facile à réaliser. Une fois la composition esquissée, qui sait quel travail sera nécessaire pour extirper de Photoshop une image qui en vaille la peine.